Le topos du locus horribilis a toujours été défini comme l’inversion du locus amoenus, et cela explique le faible intérêt qu’il a suscité jusqu’à présent. Les contributions de ce volume analysent non seulement les lieux horribles de la tradition culturelle, mais aussi ceux qui deviennent hostiles de par la relation que l’homme construit avec eux. […]